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-- -- -- -- -- -- topexpos apprendre pour découvrir le monde abonnement newsletter contactez-nous mes livres présentation de topexpos dernières actualités midnight sun, le cache-cache des victimes d’une maladie méconnue topexpos 0 un film de scott speer date de sortie : 13 juin 2018 avec bella thorne, patrick schwarzenegger, rob riggle durée : 1h33 synopsis : katie price, 17 ans, est une adolescente comme les autres, ou presque. elle ne peut en aucun cas être exposée à la lumière du jour, sous peine d’en mourir. la journée, elle compose et joue de la guitare, et observe le monde depuis sa chambre, notamment charlie reed, son voisin. à la nuit tombée, ses rêves prennent vie ! elle sort chanter dans la gare près de chez elle. un soir, elle se retrouve face à charlie. lui est instantanément sous le charme et se met en tête de la revoir… pourront-ils s’aimer au grand jour ? notre avis sur le film : la maladie dont souffre katie, joliment surnommée « les enfants de la lune », n’est en pas moins tragique. depuis son plus jeune âge, la jeune fille est contrainte de rester cloîtrée à l’abri de tout rayon de soleil et de lumière naturelle. double peine : elle a perdu sa mère très jeune dans un accident de voiture et vit désormais avec un père aimant mais craintif de voir tout basculer au moindre écart de conduite. katie s’est résignée et a appris à vivre derrière sa fenêtre de chambre, au rythme des accords de guitare qu’elle compose et du passage quotidien de charlie, sur son skateboard, dont elle est secrètement amoureuse. un soir, alors qu’elle diffuse sur le quai de la gare une douce mélopée à la guitare, charlie l’entend et s’approche d’elle… cette histoire, bien qu’enveloppée dans une romance adolescente très typée, reflète bien la tragédie de cette maladie orpheline. liberticide, elle contraint katie à ne pas vivre à fond ce premier amour. et pourtant, elle a tellement envie de lâcher prise… le rôle du père de katie est aussi crucial, entre la volonté de laisser sa fille vivre sa vie et ses expériences, et la peur incessante qui le taraude qu’un rayon de soleil ne touche sa peau si fragile. un film plein de bons sentiments, porté par deux jeunes adultes qui tentent comme ils peuvent de vivre au grand jour leur amour naissant. cinéma 30 juil 2018 wind river, le calme apparent d’un chaos sous-jacent topexpos 0 un film de taylor sheridan date de sortie : 30 août 2017 avec jeremy renner, elizabeth olsen, kelsey asbille durée : 1h47 synopsis : cory lambert est pisteur dans la réserve indienne de wind river, perdue dans l’immensité sauvage du wyoming. lorsqu’il découvre le corps d’une femme en pleine nature, le fbi envoie une jeune recrue élucider ce meurtre. fortement lié à la communauté amérindienne, il va l’aider à mener l’enquête dans ce milieu hostile, ravagé par la violence et l’isolement, où la loi des hommes s’estompe face à celle impitoyable de la nature… notre avis sur le film : la photographie impeccable des paysages immenses et la bande originale lente et obsédante nous plongent rapidement dans cette ambiance particulière qui règne dans cette réserve indienne du wyoming. une jeune femme court pieds nus dans la neige puis s’effondre. elle sera retrouvée quelques jours plus tard par un pisteur, cory lambert. dépêchée sur place, jane banner, jeune recrue du fbi va tenter de comprendre les us et coutumes de la région, les non-dits, et d’élucider ce qui semble être une mort naturelle due au froid. mais que faisait une jeune femme d’à peine 18 ans, seule dans la neige, loin de toute habitation ? ensemble, et aidés de la police locale, ils vont tenter de résoudre un crime à la fois simple, mais entouré de circonstances d’une grande complexité. les acteurs sont convaincants, elizabeth olsen en tête, et parviennent à transcrire l’atmosphère à la fois ouatée (les paysages blancs de neige y contribuant) et rude de cette terre délaissée par le gouvernement où les règles ne sont pas tout à fait les mêmes qu’ailleurs. au-delà de l’enquête, le réalisateur s’intéresse au passé des protagonistes, marqués par le deuil, la souffrance et la volonté d’oublier. mais certaines souffrances ne peuvent être enfouies indéfiniment et les accepter permet de continuer à vivre avec. cette terre n’est pas un endroit où l’on a de la chance d’être en vie, elle est surtout un endroit où l’on a plus que les autres la volonté de rester vivant. un thriller prenant, une plongée étrange dans un monde de rudesse et de solitude duquel on ne revient pas indemne. cinéma 16 juil 2018 moi, moche et méchant 3, suite et fin ? topexpos 0 un film de pierre coffin, kyle balda date de sortie : 5 juillet 2017 avec les voix de gad elmaleh, audrey lamy, david marsais durée : 1h30 synopsis : alors que gru, totalement déprimé par sa mise à pied, tente de trouver une nouvelle voie, un mystérieux individu se présente pour l’informer du décès de son père. dans la foulée, il lui annonce l’existence d’un frère jumeau prénommé dru qui a exprimé le désir d’une rencontre. d’abord ravi, gru va vite déchanté en voyant combien son frère est meilleur que lui sur de nombreux aspects. cette rivalité naissante va rendre compliquée la tâche de combattre l’insaisissable balthazar bratt qui menace la population… notre avis sur le film : on avait beaucoup ri avec le premier opus et le second opérait une vraie suite, une vraie transformation dans le comportement de gru. les filles puis lucy avaient su faire ressortir ce qu’il y avait de mieux en lui. ici, la seule nouveauté est celle d’un frère jumeau dont le charisme et l’aisance va réveiller en gru ses sombres instincts, même s’il finira par combattre le vrai méchant, balthazar pratt, un sociopathe oublié dans les méandres de scène audiovisuelle. les gags s’enchaînent, les cascades aussi, mais on assiste à un sentiment de déjà-vu , où rien ne dépasse, où rien ne surprend. même la 3d n’arrive pas à apporter ce petit plus de folie qui fait que le film manque cruellement de relief, à tous points de vue. le scénario est à la fois simple, sans envergure, et terriblement compliqué à expliquer, à en juger par la longueur du résumé sur allociné. bon c’est vrai on s’amuse, on sourit des pitreries de gru et de son frère, de l’innocence exacerbée d’agnès qui croit dur comme fer qu’elle va trouver une licorne… mais là encore, le jeu n’est pas joué à fond et la désillusion de la petite fille est bien vite oubliée pour remettre l’action sur le devant de la scène. un scénario peu inventif, des scènes à répétition, on a l’impression de revivre l’exploitation de la franchise de l’ âge de glace . au bout d’une heure et demie, on est divertit, mais sans plus. cinéma 29 mai 2018 tu ne tueras point, le combat d’un objecteur de conscience topexpos 0 un film de mel gibson date de sortie : 9 novembre 2016 avec andrew garfield, vince vaughn, teresa palmer durée : 2h20 synopsis : quand la seconde guerre mondiale a éclaté, desmond, un jeune américain, s’est retrouvé confronté à un dilemme : comme n’importe lequel de ses compatriotes, il voulait servir son pays, mais la violence était incompatible avec ses croyances et ses principes moraux. il s’opposait ne serait-ce qu’à tenir une arme et refusait d’autant plus de tuer. mais sous les railleries de ses camarades et l’incompréhension de sa hiérarchie, lors de la bataille d’okinawa sur l’imprenable falaise de maeda, il a réussi à sauver des dizaines de vies seul sous le feu de l’ennemi, ramenant en sureté, du champ de bataille, un à un les soldats blessés. notre avis sur le film : même si l’on n’a pas lu le synopsis ni entendu parler de l’histoire vraie de desmond doss, le titre et l’affiche du film de mel gibson ne nous trompent pas : on a affaire à un film de guerre. pourtant, toute la première partie s’attache à nous faire découvrir un personnage étonnant, un jeune homme prénommé desmond qui tente de se forger une identité et des convictions sous les coups répétés d’un père alcoolique et d’une mère aimante mais effacée. tu ne tueras point est u